Sangha-Mane
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 Méditation sur l'impermanence

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Djé
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Djé


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MessageSujet: Méditation sur l'impermanence   Méditation sur l'impermanence Icon_minitimeLun 1 Sep - 15:03

Méditation sur l'impermanence


Voyons d'abord la méditation sur l'impermanence, remède à l'attachement aux expériences de cette vie.

D'une manière générale, tout ce qui est composé est impermanent, ainsi que le déclare le Bouddha :

O moines, tous les composés sont impermanents.

Qu'entend-on par là ? Que ce qui est accumulé finit par se disperser,
ce qui est construit par s'écrouler, ce qui est joint par se désunir et
ce qui est né par mourir. Citons les Chapitres dits intentionnellement
:

Tout ce qu'on accumule à la fin se disperse, Et ce qu'on bâtit
finit par s'effondrer, Ce qui est assemblé pour finir se sépare, Et ce
qui est vivant disparaît dans la mort.

Pour méditer sur l'impermanence, nous considérerons :

1. Les différents aspects de l'impermanence

2. Comment méditer sur l'impermanence

3. Les bienfaits de la méditation sur l'impermanence



1. LES DIFFÉRENTS ASPECTS DE L'IMPERMANENCE

Nous observerons l'impermanence sous deux aspects : l'impermanence
de l'univers et celle des êtres qu'il contient. Dans l'impermanence de
l'univers, nous distinguerons l'impermanence grossière et
l'impermanence subtile. Dans l'impermanence des êtres, nous
envisagerons l'impermanence d'autrui et la

nôtre.



2. COMMENT MÉDITER SUR L'IMPERMANENCE

Nous méditerons sur l'impermanence en considérant d'abord l'impermanence de l'univers et ensuite celle des êtres qu'il contient.

L'impermanence de l'univers L'impermanence grossière

Depuis le mandala du vent, à la base, jusqu'en dessous des dieux de
la Quatrième Concentration, en haut, il n'existe absolument rien de
consistant ou d'immuable. Parfois, les mondes qui se trouvent
au-dessous des dieux de la Première Concentration sont consumés par le
feu ; parfois ceux qui se trouvent au-dessous des dieux de la Deuxième
Concentration sont emportés par l'eau ; et parfois, tout ce qui se
trouve en dessous des dieux de la Troisième Concentration est détruit
par le vent.

La destruction par le feu ne laisse même pas de cendres, comme
lorsqu'on brûle du beurre. Les ravages de l'eau ne laissent aucun
résidu, comme s'ils avaient dissous du sel. Après le passage du vent,
il ne subsiste rien, comme lorsqu'une bourrasque balaie la poussière.
On lit dans l'Abhidharma :

Il y a sept destructions par le feu Contre une destruction par l'eau.



Quand auront eu lieu sept destructions par l'eau, C'est le vent qui emportera tout.

Le monde de la Quatrième Concentration n'est détruit ni par le feu,
ni par l'eau, ni par le vent. Il se détruit de lui-même quand les êtres
qu'il contient ne sont plus. L'Abhidharma dit encore :

Ils sont impermanents, car leurs palais,

Ainsi que leurs occupants, paraissent et disparaissent.

Il semble donc évident que notre monde actuel sera détruit par le
feu, ainsi que le prédit le Soutra requis par le laïc Viradatta :

Au terme d'un kalpa, notre univers,

Qui a l'espace pour nature, redeviendra espace.

Les monts Mérou eux-mêmes seront calcinés et détruits.



L'impermanence subtile

Celle-ci désigne l'impermanence des quatre saisons, des levers et
des couchers de soleil et de lune, ainsi que l'impermanence de chaque
instant.

Quand arrive le printemps, le sol s'attendrit, sa couleur vire au
rouge, et la végétation bourgeonne. Mais cela ne dure pas. Avec l'été,
la terre humide se pare de vert, arbres et plantes se couvrent de
feuilles. Mais de nouveau tout change. Avec l'automne, le sol durcit et
prend une couleur ocre ; arbres et plantes portent leurs fruits. Puis
vient l'hiver, la terre gèle et se fait blanchâtre, les plantes sèchent
et cassent. Et tout recommence...

L'impermanence et le changement nous sont encore montrés par le
lever et le coucher du soleil : lorsque le soleil paraît, le onde
s'illumine et se révèle. Puis la nuit tombe, plongeant putes choses
dans les ténèbres.

L'impermanence de chaque instant désigne le fait que, d'instant en
instant, l'univers n'est plus le même. La succession 'éléments
semblables, comme dans une chute d'eau, donne apparence de la durée.



L'impermanence des êtres qui peuplent l'univers L'impermanence des autres

Tous les êtres des trois mondes sont éphémères. L'Immense Déploiement déclare :

Les êtres des trois mondes sont éphémères comme les nuages dans le ciel.



Notre impermanence personnelle

« Moi non plus, je ne suis pas libre de rester ici à jamais : il
faudra bien que je parte. » De cela, prenons conscience en observant ce
qui nous arrive et en tirant la leçon de ce qui arrive aux autres.

Examinons-nous en méditant sur notre mort, sur ses signes
avant-coureurs, sur la fuite du temps qui nous reste à vivre et sur la
séparation.

Méditer sur sa propre mort, c'est penser : « Je ne peux pas rester
longtemps dans ce monde, il me faudra partir pour le monde suivant. »

Méditer sur les signes de sa propre mort, c'est penser : « Ma
force vitale va s'épuiser, mon souffle s'arrêter, mon corps n'être plus
qu'un cadavre et mon esprit errer en d'autres lieux. »

Méditer sur l'écoulement de sa vie, c'est penser : « Depuis
l'année dernière, un an a déjà passé ; depuis l'autre jour, un mois,
depuis hier, un jour, et ma vie s'est raccourcie d'autant, comme en un
clin d'oeil. Un instant vient juste de passer et ma vie s'est encore
réduite de cet instant. » La Marche vers l'Éveil insiste :

La vie ne cesse de décroître ;

Jour et nuit elle diminue,

Et rien jamais ne vient l'accroître.

Alors, comment ne mourrai-je pas ?
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MessageSujet: Re: Méditation sur l'impermanence   Méditation sur l'impermanence Icon_minitimeLun 1 Sep - 15:04

Méditer sur la séparation, c'est penser : « Je ne pourrai rester
pour toujours en compagnie de mes amis, de mes proches, de mes
richesses, de mes biens, de mon corps et de tout ce que j'estime tant.
Bientôt il faudra que je les quitte. » La Marche vers l'Éveil :

Ignorant que je dois m'en aller En laissant tout derrière moi [...].

Ou encore, méditons sur la mort « de neuf manières », en trois
étapes : pensons que la mort est certaine, que son heure est
imprévisible et qu'alors rien ne sera d'aucune utilité.

Notre mort est certaine pour trois raisons : parce qu'il n'est
personne dans le passé qui ne soit mort, parce que le corps est un
phénomène composé, et parce que le temps qui nous reste à vivre diminue
à chaque seconde.

Personne n'a jamais échappé à la mort. Ashvaghosha s'exclame :

As-tu trouvé, sur terre ou dans les cieux,

Des êtres qui soient nés mais qui ne meurent point ? L'as-tu entendu dire ? En as-tu même douté ?

Les rishis eux-mêmes, doués de pouvoirs miraculeux et d'une
clairvoyance insondable, ne peuvent trouver le moyen de fuir en un lieu
où l'on ne mourrait pas. Tous meurent. Alors, que dire de nous ?
Ecoutons encore Ashvaghosha :

Les grands rishis doués de quintuple voyance Jusqu'aux confins du
ciel peuvent bien s'envoler : Dans un pays sans mort ils ne pourront se
rendre.

Mais ce n'est pas tout : les êtres sublimes comme les
bouddhas-par-soi, les grands auditeurs et les arhats finissent
eux-mêmes par abandonner leur corps. Inutile alors de mentionner les
êtres ordinaires que nous sommes. Dans les Chapitres dits
intentionnellement, on peut lire :

Si même les bouddhas-par-soi et les auditeurs des bouddhas

Doivent abandonner leur corps,

Que dire des hommes ordinaires ?



Il y a plus convaincant encore : les bouddhas eux-mêmes, qui sont
venus sur terre parés des marques majeures et mineures, et dont la
nature est indestructible comme le diamant, abandonnent finalement leur
corps d'apparition. Une fois de plus, que dire de nous-mêmes ?
Ashvaghosha demande :

Puisque même le corps des bouddhas

Sans exception, ce corps adamantin paré

Des marques majeures et mineures, est éphémère, Est-il besoin de
mentionner le corps des autres êtres, Aussi creux que le tronc du
bananier ?

La mort est inévitable, puisque notre corps est composé et que
tout composé est impermanent et destructible, comme on peut le lire
dans les Chapitres dits intentionnellement :

Hélas ! Les composés sont impermanents, sujets à la naissance et à la destruction.

Notre corps n'étant guère incomposé, il est éphémère et ne peut échapper à la mort.

Enfin, la mort est inévitable puisque, seconde après seconde, la
durée de notre vie et nous rapproche un peu plus de la mort. Même si
cela ne saute pas aux yeux, la mort approche inexorablement comme une
flèche décochée par un puissant archer, un torrent qui dévale une
montagne ou l'exécution à laquelle on mène le prisonnier.

Lorsque l'archer a décoché sa flèche, celle-ci file vers la cible
sans marquer la moindre pause. De même, la vie se rapproche rapidement
de la mort, sans s'arrêter nulle part un seul instant.

La corde à peine relâchée, La flèche de l'habile archer



Vole vers la cible sans jamais s'arrêter.

Il en va de même pour la vie des hommes.

Ainsi parlent les Chapitres dits intentionnellement.

L'image du torrent qui dévale les pentes sans répit illustre plus
clairement encore comment la vie ne peut suspendre son cours un seul
instant.

Amis, la vie s'écoule, rapide

Comme un torrent de montagne,

Mais les êtres puérils* en sont inconscients

Et s'enivrent, arrogants, de leurs sottes richesses,

lit-on encore dans la Dharani du précieux pinacle de la grande assemblée.

Et, toujours dans les Chapitres dits intentionnellement :

Comme le courant d'un grand fleuve, La vie s'écoule sans retour.

La troisième image est celle du condamné que chaque pas vers le
lieu du supplice rapproche de la mort. Citons le sublime Soutra de
l'arbre :



Tels les pas du condamné qui marche au supplice, Chacun de nos pas nous rapproche de la mort.

Et les Chapitres dits intentionnellement :

Comme le condamné qui est sûr de mourir Et dont chaque pas est un pas vers la mort, Ainsi l'homme va sa vie.

A présent, voyons l'incertitude de l'heure de la mort. Elle a trois
causes : la durée de la vie n'est pas fixe, le corps n'a aucune
consistance et les causes entraînant la mort sont foison.

Alors que la vie a une durée fixe chez les êtres humains des
autres continents, la durée de la vie est incertaine sur notre
continent de Jambudvipa.



Ici, elle n'est pas fixe : à la fin elle sera de dix ans, Alors qu'au début elle était incalculable, explique l'Abhidharma.

Les Chapitres dits intentionnellement décrivent cette incertitude

:

Certains meurent dans le ventre de leur mère,, D'autres meurent en naissant,

Certains quand ils savent tout juste ramper, Et d'autres quand ils peuvent courir,

Certains jeunes, d'autres vieux,

Et d'autres encore dans la force de l'âge, Mais peu à peu tous disparaissent.

« Le corps n'a aucune consistance » : uniquement composé de
trente-six matières immondes, il ne possède rien de consistant, de
ferme et de solide, comme l'explique la Marche vers l'Éveil :

Je détache d'abord, Mentalement, la peau.

Puis, avec l'épée de connaissance,

Je sépare la chair des os. J'ouvre ensuite les os, J'en scrute la moelle, Et me demande alors :

Y a-t-il là quelque chose de consistant ?

Les facteurs de mort, disions-nous, sont nombreux. En fait, il
n'est rien qui ne puisse se transformer en cause de mort pour soi ou
pour autrui, comme on peut le lire dans la Lettre à un ami :

Si cette vie que bat le vent de mille maux

Est plus précaire encore qu'une bulle sur l'eau, Il est miraculeux, après avoir dormi,

Inspirant, expirant, de s'éveiller dispos.

Rien ne sert à personne au moment de sa mort : ni la nourriture, ni les richesses, ni la famille, ni les amis, ni même le corps.



Ni la nourriture ni les richesses, dit la Marche vers l'Éveil.

Ayant acquis de nombreux biens

Et savouré de longs délices,

Comme un homme dépouillé par les voleurs, Nu et les mains vides, je m'en irai.

Les richesses sont non seulement inutiles au moment de la mort,
mais elles sont nuisibles pendant cette vie et dans les vies suivantes.
Pendant notre vie, elles nous font souffrir, car nous devons nous
battre pour elles, les protéger contre les voleurs, et nous en devenons
esclaves. Et dans les vies suivantes, la pleine maturation des actes
auxquels elles nous ont contraints nous poussera dans les mondes
inférieurs.

Les amis et la famille ne sont guère plus utiles alors. La Marche vers l'Éveil le dit bien :

Quand vient l'heure de la mort, Nul enfant ne te protège ;

Nul père, nulle famille

Ne peuvent t'offrir refuge.

Non seulement nos proches ne nous aident pas au moment de mort,
mais ils nous nuisent dans cette vie et dans les suivantes. Dans cette
vie, la crainte qu'ils meurent, qu'ils tombent malades, qu'ils échouent
nous tourmente. Dans les suivantes, la pleine maturation des actes que
nous aurons accomplis pour eux nous poussera dans les mondes
inférieurs.

Quant au corps, il ne vaut plus rien. Ni par ses qualités, ni par

lui-même, il ne nous servira au moment ultime. Pour ce qui est

des qualités, comprenons que, même forts et braves, nous ne pourrons pas repousser la mort ; même rapides à la course, nous

ne pourrons la fuir ; même savants et beaux parleurs, nous ne pourrons nous tirer d'affaire par de brillants discours. La mort

est pareille au soleil qui se couche derrière les montagnes : nul
ne peut l'arrêter ni la différer. Le corps est par lui-même inutile,
comme la Marche vers l'Eveil le rappelle :

Ce corps, que tu avais à grand-peine formé, Que tu avais couvert
et nourri avec soin, Les chiens et les rapaces le dévoreront, Il sera
calciné, il pourrira dans l'eau

Ou enfoui dans un trou : il ne te suivra pas.

Non seulement le corps est inutile au moment de la mort, mais il
est source de problèmes dans cette vie et dans les suivantes. Dans
cette vie, nous ne supportons pas de tomber malades, d'avoir chaud,
froid, faim ou soif ; nous craignons d'être battus, enchaînés,
écorchés, massacrés, et tout cela nous cause de grandes souffrances.
Dans nos vies futures, le karma que nous aurons créé pour notre corps
nous plongera dans les mondes inférieurs.

Voici les leçons à tirer de l'impermanence qui frappe les autres :

Chaque fois que nous voyons mourir quelqu'un, chaque fois que nous
entendons parler d'un décès ou que nous y pensons, méditons sur cette
mort comme si c'était la nôtre.

Imaginons d'abord que nous sommes témoins de la mort d'autrui,
d'un être proche par exemple. Il est vigoureux, il a le teint éclatant,
il se sent bien et ne pense pas à la mort, mais voici qu'une maladie
mortelle le frappe et que sa vigueur l'abandonne. Il ne peut plus même
s'asseoir, son visage perd tout éclat, ses joues sont livides, ses
sensations douloureuses, et rien n'arrête sa maladie ni ne soulage sa
souffrance. Sa douleur est insupportable et ne s'atténue pas. Remèdes
et traitements restent sans effet ; rituels et cérémonies ne l'aident
guère plus. Il sait qu'il va mourir, qu'il n'y a rien à faire. Autour
de lui se presse une dernière fois le cercle de ses proches. Il prend
son dernier repas, il dit ses derniers mots. Rendez-vous compte alors
que vous êtes identique à cette personne, que vous avez la même nature,
que vous possédez les mêmes caractéristiques, que vous obéissez aux
mêmes lois.



Dès que le moribond a rendu son dernier souffle, peu importe qu'on
l'ait aimé, qu'il ait été indispensable, il n'est même plus digne de
rester dans sa maison un jour de plus. On le ligote sur une civière, on
le cale fermement et les croque-morts l'emportent. Alors, certains de
ses proches étreignent le cadavre et se cramponnent à lui, certains
fondent en larmes face contre terre, certains s'évanouissent, pendant
que d'autres les sermonnent : « Vous avez perdu la raison, ce n'est
plus que de la terre et des pierres ! » Prenons acte de ce que le
cadavre a franchi la porte et ne reviendra plus jamais, dans quelque
circonstance que ce soit, et réfléchissons comme au paragraphe
précédent.

Procédons de la même manière en imaginant que, une fois le corps
déposé dans un charnier, nous le voyons rongé par les vers, dévoré par
les chiens et les chacals, les os éparpillés.

Que ces mêmes pensées nous viennent chaque fois que nous entendons
parler de la mort des autres, lorsqu'on nous apprend qu'Untel a rendu
l'âme ou qu'il y a un mort quelque part.

En pensant à la mort d'autrui, souvenons-nous de tous ceux, jeunes
ou vieux, de notre région, de notre ville ou de notre demeure, avec qui
nous avons vécu et qui à présent ne sont plus.

Procédons de nouveau comme nous l'avons vu en nous rappelant que,
sous peu, nous subirons le même sort. On peut lire dans un outra :

Puisque, du jour ou du monde suivant, Nul ne sait lequel viendra
le premier, Mieux vaut se consacrer à la vie prochaine Que de faire des
plans pour le lendemain.



LES BIENFAITS DE LA MÉDITATION SUR L'IMPERMANENCE

comprendre que tous les composés sont éphémères, cela renverse
notre désir immodéré de cette vie, ravive notre foi, soutient notre
courage, nous délivre vite de l'attachement et de la haine, nous aide à
réaliser l'égalité de toutes choses.
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